Lasurface d'un bien est un des éléments essentiels dans le calcul de la valeur d'un bien. A chaque moment de la vie d'un bien immobilier, vous vous référez à une superficie. Elle permet de comparer de manière objective et de déterminer des seuils pour la mise en location, pour la détermination des taxes, etc. La surface est ainsi utilisée par les services fiscaux pour établir la Exemple1 : Vous disposez d’un jardin de 60 m² dont le gazon a besoin d’être restauré (soit 10 cm de haut). Il vous faut donc 60 x 0,1 = 6 mètres cubes de terre végétale. Comment convertir des m3 de terrain en tonnes ? Première méthode : multiplier le nombre de m3 par 1000 : 1 m3 x 1000 = 1000 l, 0,336 m3 x 1000 = 336 l, 1 336 m3 x Lorsdu calcul de la surface de plancher d’une maison, il importe de prendre en compte les surfaces habitables de chaque niveau, cloisons comprises. Pour déterminer cette surface, réalisez le calcul à partir du nu intérieur des façades en ne tenant pas compte des surfaces dédiées à l’isolation. Si le logement est doté d’un ou Surfacedes ouvertures = 2 x 0,50 x 1,00 = 1 m2. On a donc la surface totale à enduire = 14 m2 – 1 m2 = 13 m2. En général, le rendement de l’enduit est de 1 sac de 25 kg pour 1 m2 de surface. La quantité d’enduit est donc égale à 13 m2 x 1 sac par m2 = 13 sacs. Si vous n’avez que besoin de reboucher des trous ou lisser un mur, le Afinde calculer l'aire du pignon du toit, il est nécessaire de multiplier la surface de chaque rampe individuelle par le cosinus de l'angle de la pente. À un angle d'inclinaison, on entend un angle formé par le Quelssont les m² non habitables dans une maison ? En règle générale, les m² non habitables d’un appartement sont les sous-sols, les garages, les greniers, les balcons, les loggias, les vérandas, etc. Cependant, ces mètres carrés ajoutent de la valeur à la propriété et doivent être pris en compte lors du calcul du prix de vente de votre maison. Ainsi, vous pourrez augmenter 7uA9F. Depuis le 1er mars 2012 des modifications importantes sur les surfaces régissant les autorisations d’urbanisme ont été mise en place. Les SHON et SHOB ont été supprimées et remplacées par deux surfaces différentes la Surface de Plancher et l’Emprise au Sol. Après avoir décrite en détail la Surface de Plancher dans un article précédent, il est important de définir aujourd’hui précisément la notion d’Emprise au Sol. L’emprise au sol d’un bâtiment L’emprise au sol n’est pas une notion nouvelle. C’est une surface qui existait déjà avant la réforme du 1er mars 2012. Elle est, en effet, appliquée dans un certain nombre de PLU Plans Locaux d’Urbanisme. Mais cette emprise au sol n’a pas de définition officielle » et chaque commune précise les contours de cette surface telle qu’elle l’entend. A chaque PLU sa définition, donc. Cette surface reste en application dans les PLU où elle existe et la nouvelle Emprise au Sol ne vient pas interférer avec elle. L’emprise au sol qui nous intéresse aujourd’hui est celle qui a été définie le 1er mars dernier et qui servira, avec la Surface de Plancher, de référence pour connaître l’autorisation d’urbanisme à laquelle un projet de construction ou de travaux est soumis. Définition de l’emprise au sol L’Emprise au Sol telle qu’elle est appliquée dans les démarches d’urbanisme est donc considérée comme La projection verticale du volume de la construction, tous débords et surplombs inclus » La mesure de l’emprise au sol est donc totalement différente de celle de la surface de plancher. En effet, les étages et combles qui ne forment pas de débord ainsi que les sous-sols ne sont pas pris en compte dans l’emprise au sol. Les éléments qui forment de l’emprise au sol Tout élément d’un bâtiment ou toute construction créant un volume qu’il est possible de projeter au sol forme logiquement de l’emprise au sol. A ce titre, nous trouvons donc la surface au sol du rez-de-chaussée d’une construction les surfaces non closes au RDC mais dont la projection au sol est possible porche ou terrasse surélevés ou couverts par un toit soutenu par des poteaux. La surélévation doit être suffisante terrasse sur pilotis par exemple ou porche accessible avec plusieurs marches d’escalier et sur fondations importantes. les débords de toit portés par des poteaux les simples débords de toit traditionnels sur le pourtour d’une maison ne sont pas comptés dans l’emprise au sol les rampes d’accès extérieures les bassins de piscine couverte ou non, intérieure ou extérieure ou de rétention d’eau un abri à voiture ouvert mais couvert par une toiture supportée par des poteaux ou des murs. Bien-sûr, un garage fermé indépendant de la maison fait partie de l’emprise au sol. un abri à jardin, un atelier indépendant … qu’il soient clos et couverts ou similaires à l’abri à voitures ci-dessus un abri à poubelles dans le même cas que l’abri à voiture un balcon ou une terrasse en étage en surplomb du RDC tous les volumes en porte-à-faux au-dessus du RDC un étage décalé, par exemple Exemple de calcul d’emprise au sol Prenons le cas d’une maison possédant un rez-de-chaussée et un étage, sur sous-sol complet. Les dimensions extérieures de la maison sont de 12m de longueur et 8m de profondeur. Elle comprend un porche d’entrée de x 1m, couvert par un auvent soutenu par des poteaux. A quelques mètres de la maison se trouve un abri pour deux voitures composé d’un toit à double pente posé sur six poteaux bois. Il mesure 6 m de long et 5m de large. En façade Sud de la maison on trouve une terrasse sur terre-plein, de plain-pied avec le RDC, de 3 x 5m. En premier lieu nous pouvons estimer la surface construite au sol de laquelle nous déduirons certains éléments pour obtenir l’emprise au sol - maison 12 x 8 = 96m² les étages et sous-sol ne représentent pas de surface au sol supplémentaire par rapport au RDC - porche d’entrée x 1 = il est en saillie de la façade et donc représente une surface construite supplémentaire - abri voitures 6 x 5 = 30m² indépendant de la maison, il est dans le même cas que le porche - terrasse 3 x 5 = 15m² c’est aussi une surface construite qui à une existence au sol Soit 96 + + 30 + 15 = Vérifions maintenant si tous ces éléments font partie de l’emprise au sol. - la maison bien-sûr, les 96m² de surface au sol de la maison, donc l’ensemble du rez-de-chaussée, sont considérés comme de l’emprise au sol. - le porche d’entrée comme nous l’avons vu dans la définition plus haut, les débords de toit ou autres auvents ou appentis supportés par des poteaux font partie de l’emprise au sol. Les couverts du porche sont donc comptabilisés dans l’emprise au sol. - l’abri à voitures il est dans la même configuration que le porche. Ses 30m² sont donc bien de l’emprise au sol. - la terrasse sur terre-plein et de plain-pied avec le RDC, elle n’est pas surélevée et sa surface ne peut donc pas être projetée au sol. A ce titre, elle ne fait pas partie de l’emprise au sol. Au final, nous avons donc une emprise au sol de 96 + + 30 = Variantes Si l’abri à voitures n’avait été qu’un simple emplacement au sol symbolisé par une dalle, par exemple, sans couverture, il n’aurait pas été considéré comme de l’emprise au sol. De même, si le porche avait été encastré dans le volume de la maison, il aurait été partie intégrante de l’emprise au sol du RDC et non pas une surface à considérer en plus. Si la terrasse avait été surélevée sur pilotis pour combler une différence de niveau entre le terrain et le RDC, ou si elle avait été couverte d’un toit supporté par des poteaux, elle serait entrée dans l’emprise au sol. Enfin, si l’étage avait comporté un balcon, la surface de celui-ci aurait été ajoutée à l’emprise au sol. Les choix architecturaux ont donc un réel impact sur l’emprise au sol définitive d’un projet de construction. A quoi sert l’emprise au sol L’emprise au sol a deux fonctions principales et se trouve toujours associée à la surface de plancher. Elle est utilisée pour savoir si un projet de construction ou des travaux sur un bâtiment existant devront faire l’objet d’un permis de construire ou d’une déclaration préalable. Voire d’aucune autorisation si la surface projetée est réduite. Elle sert aussi pour définir si un projet doit être réalisé par un architecte ou non. En effet, lorsque l’une des deux surfaces de référence emprise au sol ou surface de plancher dépasse le seuil de 170m², le projet devra être réalisé par un architecte. Nous reviendrons dans un prochain article sur l’obligation de recourir à un architecte. Pour aller plus loin et approfondir l’emprise au sol, notre article sur l’emprise au sol illustrée à travers un exemple précis de construction d’une maison individuelle permet de mieux appréhender la notion d’emprise au sol. En attendant, il ne vous reste plus qu’à calculer l’emprise au sol de votre projet. A vos calculettes … – Référence juridique article R*420-1 du Code de l’urbanisme – Articles en relation avec ce sujet Les emprises au sol Surface taxable et espace de stationnement La surface taxable Obligation de faire appel à un architecte nouveau calcul Emprise au sol d’un projet de maison individuelle La surface habitable SHAB est une surface de référence dans le domaine de la construction et de l’immobilier. Elle est non seulement mentionnée dans les baux de location, mais aussi dans les contrats de vente de maisons. La SHAB sert également à définir les conditions minimales d’habitabilité. Enfin, notons qu’elle est identique à la surface dite “loi Boutin”. Découvrons donc comment s’effectue le calcul de la surface habitable. En premier lieu, la surface habitable SHAB trouve sa définition dans l’article du code de la construction et de la l’habitation. La surface habitable d’un logement est la surface de plancher construite, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, marches et cages d’escaliers, gaines, embrasures de portes et de fenêtres […]Il n’est pas tenu compte de la superficie des combles non aménagés, caves, sous-sols, remises, garages, terrasses, loggias, balcons, séchoirs extérieurs au logement, vérandas, volumes vitrés prévus à l’article locaux communs et autres dépendances des logements, ni des parties de locaux d’une hauteur inférieure à 1,80 mètre. Calcul de la surface habitable en détail Afin de ne rien oublier, nous conseillons d’effectuer le calcul en procédant aux deux étapes suivantes 1. Calcul des surfaces de plancher avant déduction Pour calculer la surface de base avant déductions, il faudra additionner toutes les surfaces qui correspondent effectivement à du plancher tous les niveaux hors sous-soltoutes les surfaces closes par des menuiseries et possédant une toiture À ce stade, il faudra également compter les surfaces non isolées ou non chauffées. Ce n’est qu’ensuite que nous pourrons déduire certaines de ces surfaces. 2. Surfaces à déduire Puis, une fois que vous avez calculé votre surface de base, il conviendra de déduire les surfaces suivantes pour obtenir la SHAB toutes les surfaces de plancher de hauteur sous plafond inférieure ou égale à 1,80 mles épaisseurs de murs et cloisons, ainsi que leurs embrasurestout vide et toutes trémies d’escaliersles marches d’escaliers et rampes d’accèsles gaines et conduits de cheminée si leur partie la plus basse est sous une hauteur de 1,80 mtoutes les surfaces de combles non aménageables ou non aménagéestoutes les surfaces en sous-solles garages, ainsi que les remisesles vérandas, chauffées ou bien non chauffées Pour rappel, restent toutefois compris dans la surface habitable les éléments suivants toutes les surfaces de placards, ainsi que les foyers de cheminéesles locaux techniques et celliers, quand ils ne sont ni en combles ni en sous-solles combles aménagés, pour leur partie avec hauteur sous plafond supérieure à 1,80 m Schémas et tableaux comparatifs avec les autres surfaces >> Tableau comparatif des surfaces format pdf > Schémas comparatifs des surfaces format pdf << CONSEIL D’ARCHITECTE EN LIGNE Réponse de M. Périé architecte sous 48H – 35€ TTC À lire sur le même sujet Calcul des surfaces réglementaires définitions et comparatifsCalcul de la surface de plancher d’une constructionRecours à un architecte quand est-il obligatoire ? Vous avez une question au sujet de cet article ?Laissez un commentaire ci-dessous, nous vous répondrons dans les plus brefs délais.* * Devant l’afflux de questions personnelles, nous avons choisi de ne répondre gratuitement qu’aux simples demandes de précisions sur le contenu de l’article. Pour toute demande de conseil personnalisé, nous vous proposons d’utiliser notre service de consultation en ligne. Merci pour votre compréhension. Pourquoi calculer la surface d’une toiture ? Que ce soit pour nettoyer ou remplacer totalement la couverture de votre toiture, le calcul de la surface de la toiture est un paramètre indispensable pour mener à bien les travaux. En effet, si vous choisissez de faire appel à un artisan pour vos travaux de toiture, ce dernier vous proposera la plupart du temps un tarif au m². Or, si vous ne connaissez pas la surface de votre toit, comment vérifier que le montant des travaux est bien cohérent avec la réalité ? Bien entendu, vous pouvez faire confiance à un artisan spécialisé pour vous donner une estimation de la surface en très peu de temps et de manière fiable. Toutefois, il arrive parfois que certains professionnels peu scrupuleux profitent de la situation pour faire gonfler les chiffres et donc la facture. Même si cette situation est assez rare, le fait de connaitre la surface de votre toit sera également toujours utile pour évaluer les quantités de matériaux nécessaires si vous décidez un jour d’entreprendre des travaux vous-même. Calculer surface toiture où trouver les informations ? Le calcul de la surface de votre toiture dépend avant tout du nombre de pans. Il s’agit de la surface formée par un versant de toiture. Dans la plupart des situations, le toit est doté de 1, 2, 3 ou 4 pans. Quelque soit le nombre de pans, vous aurez besoin de mesurer certaines dimensions avant d’opérer une formule mathématique que nous verrons dans la prochaine partie. Mais comment prendre les mesures ? 3 solutions sont possibles À partir du plan C’est évidemment la solution la plus simple et la plus efficace. Lorsqu’une construction est récente et que vous disposez de tous les plans d’exécution, il vous suffit de vous référer au plan de toiture que vous avez dû conserver. À partir du toit Si vous ne disposez pas des plans, vous pouvez prendre directement les mesures dont vous avez besoin en montant sur votre toit. Vous aurez besoin de mesurer la pente du toit, la largeur et la longueur de chaque côté. À partir du sol Si vous ne souhaitez pas effectuer toutes ces mesures depuis le toit en prenant le risque de tomber, sachez que vous pouvez aussi procéder au calcul de la surface de votre toiture avec la surface au sol. Il suffit de mesurer la longueur et la largeur de votre maison en partant du sol. Sachez toutefois que les mesures prises ainsi restent assez approximatives. Par ailleurs, si votre toit est incliné, vous devrez obligatoirement déterminer la pente. Pour cela, il vous faudra tout de même monter sur une échelle avec un niveau à bulle pour calculer l’inclinaison. Comme évoqué plus haut, le nombre de pans est un critère déterminant pour identifier le bon mode de calcul pour votre toiture. Surface toit plat Si votre maison possède un toit plat, vous avez de la chance, car c’est la situation la plus simple. En effet, il suffit de multiplier la longueur de votre toit par la largeur pour obtenir la surface. Calcul surface toiture 1 ou 2 pans Les toitures à un pan sont assez rares aujourd’hui. La plupart des maisons possèdent au moins deux pans de toiture avec une couverture qui peut varier tuiles, ardoises, bac acier, bois, chaume…. Dans ce cas, la toiture forme une sorte de chapeau formée de deux rectangles inclinés. Étape 1 Déterminer la longueur de la pente Avant tout, vous avez besoin de déterminer la longueur de la pente. Pour cela, nous allons faire appel à vos vieux souvenirs de mathématiques en vous parlant du théorème de Pythagore. Le carré de l’hypoténuse, cela vous parle ? Eh, oui, ce calcul qui hante toujours bon nombre de collégiens est la base pour déterminer la longueur d’une pente. Voici comment procéder, avec en premier lieu les mesures dont vous avez besoin A la longueur de l’arête qui part de la base de la charpente sol des combles à la pointe du toit B la largeur horizontale du toit en partant de la base de ce dernier Il vous faut ensuite appliquer le théorème de Pythagore, à savoir Longueur de la pente = racine carrée A² + B². Étape 2 calculer la surface d’un pan Une fois la longueur de la pente déterminée, il vous suffit de la multiplier par la longueur du toit pour obtenir la surface du pan. Pour le calcul de la surface d’une toiture 2 pans, il ne vous reste plus qu’à multiplier le résultat par 2. Surface toiture 3 ou 4 pans C’est le deuxième type de toiture le plus répandu. Le toit peut avoir 4 pans dont les deux plus petits peuvent prendre la forme d’un triangle isocèle ou la forme d’un trapèze. Il vous faudra donc alors calculer la surface de chaque forme, et d’additionner ensuite chaque pan. Pour vous y aider, voici un rappel des règles de calcul d’un triangle et d’un trapèze. Forme du pan Règle de calcul de la surface Triangle longueur de la base*hauteur du triangle / 2 Trapèze grande base + petite base*hauteur / 2 Surface toiture complexe Si votre toiture ne rentre pas dans les situations évoquées ci-dessus, c’est que cette dernière est complexe. Dans ce cas, il est préférable de vous rapprocher directement d’un couvreur qui prendra directement les différentes mesures qui s’imposent. Calcul toiture conseils Comme vous avez pu le constater, hormis pour les toits plats qui sont assez simples à mesurer, les toits inclinés à 1 ou plusieurs pans demandent de prendre des mesures précises pour déterminer la surface de toiture. Si vous choisissez de procéder vous-même à cette prise de mesure, voici quelques conseils que nous jugeons utiles Donner priorité à la sécurité Monter sur un toit nécessite un bon sens de l’équilibre. Pour prendre les bonnes mesures, vous allez devoir vous déplacer sur ce dernier. Nous vous conseillons vivement de vous sécuriser grâce à un harnais. Sachez qu’en cas de besoin, de nombreuses enseignes de bricolage proposent des kits anti-chute pour travaux de toiture exemple ici. Établir un plan de toiture Avant d’entreprendre l’escalade jusqu’à votre toit, pensez à dessiner un plan approximatif de votre toiture, et emportez-le avec vous. A chaque mesure prise, vous pourrez noter directement la dimension trouvée et vous ne risquez pas d’oublier une mesure ou au contraire de réaliser deux fois le travail. Ce conseil est notamment utile pour le calcul des surfaces de toiture 4 pans qui nécessite plusieurs opérations. Aidez-vous d’un logiciel Une fois toutes les mesures prises, vous n’avez pas forcément besoin de procéder à des calculs savants. En surfant sur internet, vous trouverez de nombreux logiciels de calcul de surface de toiture. Dans tous les cas, si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à demander au couvreur de refaire le calcul, car en cas d’erreur, vous risqueriez de manquer de matériel au moment des travaux. Par ailleurs, si vous confiez le chantier de toiture à un artisan, vous risqueriez également de subir une surfacturation de la main-d’oeuvre au moment de régler la note. Avec seulement 3 mesures longueur & largeur de votre toit et hauteur du pignon, vous pouvez calculer exactement la surface de votre toiture. Notre calculette est utile notamment pour effectuer un devis de nettoyage ou démoussage de votre toiture ou encore pour bien dimensionner votre cuve de récupération d’eau de pluie. Calcul de la surface d'un toit à deux pans Longueur du toit M Longueur du toit à sa base Largeur du toit M Largeur du toit à sa base Hauteur M Hauteur du pan de toit de la base du toit à l’arrête Navigation de l’article Calculez la quantité de papier peint dont vous avez besoin ! Getty Images/iStockphoto/SteveAllenPhoto Si poser du papier peint est souvent très simple, mieux vaut déterminer en amont le nombre nécessaire de rouleaux et de lés pour recouvrir vos murs. Pour faciliter vos envies de rénovation, suivez nos conseils et calculez la quantité de papier peint dont vous aurez besoin. À motifs tropicaux, graphiques, sur un seul pan de mur ou en guise de tête de lit... Le papier peint, facile à poser, a le vent en poupe. Mais avant de vous lancer, mieux vaut définir la quantité exacte de papier peint nécessaire, au risque de vous retrouver avec un surplus ou une pénurie de produit. Allez, on vous dit tout ! >> Pour aller plus loin >> Papier peint salon 20 références qui ne manquent pas de caractère et Papier peint chambre 20 modèles pour insuffler un nouvel univers Etape 1 déterminer la surface à tapisserAvant de pouvoir déterminer le nombre de lés et de rouleaux nécessaires, il est primordial de connaître la surface de la pièce à tapisser. Pour cela, il vous suffit de mesurer le périmètre de l'espace à l'aide d'un mètre en ne prenant pas en compte les ouvertures telles que les fenêtres ou les portes. Appliquez ensuite la calcul suivant longueur de la pièce + largeur x 2. - Par exemple pour une pièce dont la longueur est de 7 mètres et la largeur de 5 mètres, il faut calculer 7 + 5 x 2 = 24 mètres de périmètre. >> A lire aussi >> Comment calculer la quantité de peinture qu'il vous faut ? Etape 2 calculez la quantité de papier peint nécessairePour connaître le nombre de lés dont vous aurez besoin pour toute votre pièce, il vous suffit d''appliquer la formule suivante périmètre de la pièce divisé par la largeur du rouleau. - Par exemple dans notre cas, et sachant que la largeur standard d'un rouleau est de 0,53 mètres, il faut calculer 24 / 0,53 = 45,28. Il faudra donc 45 lés de papier peint pour habiller toute la pièce. Afin de connaître le nombre de rouleaux nécessaire, il vous faut tout d'abord déterminer le nombre de lés que vous pourrez utiliser dans chaque rouleau. Pour cela, mesurez la hauteur de votre pièce à partir des plinthes et appliquez la formule suivante longueur du rouleau / hauteur de la pièce + 10 cm de marge pour les coupes. - Par exemple dans le cas d'une pièce de 2,20 mètres de hauteur et sachant que la longueur standard d'un rouleau est de 10 cm, le calcul sera 10 / 2,20 + 0,10 = 4,3. 4 lés pourront être exploités dans un rouleau, dans ce cas précis. NB si vous souhaitez calculer le nombre de rouleaux dont vous aurez besoin pour du papier peint à motifs nécessitant des raccords, appliquez les mêmes calculs en ajoutant la hauteur des raccords en cm indiquée sur le rouleau à la hauteur de la pièce et à la marge de 10 cm. Soit longueur du rouleau / hauteur de la pièce + 10 cm de marge pour les coupes + hauteur des raccord en cm. Le nombre de rouleaux dont vous aurez besoin se calcule ainsi nombre de lés nécessaires pour toute la pièce / nombre de lés dans un rouleau. - Par exemple dans notre cas, et sans raccords, le calcul est 45 / 4 = 11 rouleaux. Attention, par mesure de précaution et pour anticiper d'éventuels ratés, ajoutez 1 ou 2 rouleaux à ce résultat. Ici, 12 à 13 rouleaux seront nécessaires. >> A lire aussi >> Poser du papier peint les 10 erreurs à éviter

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