Jfais le sourd, claque la porte, pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block. La visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge, J'cherche une île, une berge, ou au Paroles 2: Parle Moi: 54 lectures: Ajouter à mon blog; Noter; Commentaires; Paroles; 3: Je Reve Feat Ahmess: 52 lectures: Ajouter à mon blog; Noter; Commentaires; Paroles; 4: Comme une bouteille à la mer, Soprano: 44 lectures: Ajouter à mon blog; Noter; Commentaires; Paroles; My Redeemer Lives - Team Hoyt. Un jour, un fils demande à son père > Papa, veux-tu Paroleset clip de Comme une bouteille à la mer de Soprano. Donnez l'adresse de cette page à vos amis : Insérez le clip sur votre blog ou votre site web : Ledivan Hall Halla Moi j'ai pas A la bien Comme une bouteille à la mer Mélancolique anonyme - Featuring Diam's - Pas de vidéo clip Interlude Soprano et Mino - Pas de vidéo clip Tant que Dieu - Featuring Mino - Pas de vidéo clip M.A.R.S. - Featuring Mino - Pas de vidéo clip La famille - Featuring Léa - Pas de vidéo clip Welcome - Featuring Psy4 De La Rime - Pas de vidéo Parolesdes chansons. 1. La bergère aux champs. Que la bergère aux champs. Désire le beau temps. Aime à passer son temps. Le matin et le soir. « Oh ! levez-vous, bergère ! Bergère, levez-vous. Parolesde chanson Psy 4 De La Rime - Comme Une Bouteille à La Mer. Psy 4 De La Rime - Comme une bouteille à la mer Encore une prise de bec avec ma mère, J'fais le sourd, claque la pC9RTx4. [u][b]Demain, c'est loin[/b][/u] [i][b]La putain de chanson qui dure 10 minutesn avec un débit impossible - tu finis la gorge asséchée...[/b][/i]by IAML'encre coule, le sang se répand, la feuille buvardAbsorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoireJe parle de ce que mes proches vivent et de ce que je voisDes mecs coulés par le désespoir qui partent à la dériveDes mecs qui pour de shit se déchirentJe parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rireRire, sourire, certains l'ont perdu je pense à MomoQui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revuTenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frèreMais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrièrePousse pousser au milieu d'un champs de bétonGrandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les rondsLa pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvementsOn coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vendA tour de bras, on fait rentrer l'argent du crackOuais, c'est ça la vie, et parle pas de rmi ici ici iciIci, le rêve des jeunes c'est la Golf gti, survet' TachiniTomber les femmes à l'aise comme manySur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bienDieu merci, j'ai grandis, je suis plus malin, lui il crève à la finLa fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsainsEt on tient jusqu'à demain, après on verra bienOn marche dans l'ombre du malin du soir au matinTapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand cheminChemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieuFrapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veutUne route pour y entrer deux pour s'en sortir, 3/4 cuirRéussir, s'évanouir, devenir un souvenirSouvenir être si jeune, avoir plein le répertoireDes gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou!c'est le noirCroire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirsVont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirsTirroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enferSur terre, on construit son paradisFiction, désillusion trop forte, sors le chichonLa réalité tape trop dure, besoin d'évasionEvasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est grisLes murs, les esprits, les rats la nuitOn veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'actionFausse diversion, un jour tu pètes les plombsLes plombs, certains chanceux en ont dans la cervelleD'autres se les envoient pour une poignée de biftons, guerre fraternelleLes armes poussent comme la mauvaise herbeL'image du gangster se propage comme la gangrène sème ses grainesGraines, graines, graine de délinquant qu'espérez-vous? Tous jeunesOn leur apprend que rien ne fait un homme à part les francsAu franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champsTrop grand, impossible a arrêtéArrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortieOn prend trois mois, le bruit court, la réputation granditLes barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épineFine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'animeS'anime, anime animé d'une furieuse envie de monnaieLe noir tombe, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamberPerdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plusCa aidera, personne demandera d'où ils sont tombésTomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousinDe toute façon dans les deux cas, on s'en sort bienVivre comme un chien ou un prince, y'a pas photoOn fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyauxJoyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est loin, la flècheRicoche, le diable rajoute une encoche trop moche les mecs cochentLeur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches,les coups de piocheCreuser un trou, c'est trop fastocheFastoche, facile le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantiseEt porcelaine dans le pare-briseTchac! le rasoir sur le sac à main, par ici les talbinsCa c'est toute la journée, lendemain, après lendemainLendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jourOn n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennentDemain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesureOn avance en surveillant nos fesses pour parler au futurFutur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochainesSeront pires que nous, leur vie sera plus moroseNotre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiperPrévenir avant de se faire clouerClouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bièreOn siffle les gazières qui n'ont pas de frèreLes murs nous tiennent comme du papier tue-mouchesOn est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourcheFourche, enfourcher les risques seconde après secondeChaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondesContre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terreLes obstinés refusent le combat suicidaireCidaire, sidérés, les dieux regardent, l'humain se diriger vers le mauvaisCôté de l'éternité d'un pas décidéPréfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerderY'a qu'ici que les anges vendent la fuméeFumée, encore une bouffée, le voile est tombéLa tête sur l'oreiller, la merde un instant estompéePar la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquerUn enfant se fait serrer, pour une Cartier menottéMenotté, pieds et poings liés par la fatalitéPrisonnier du donjon, le destin est le geôlierLe teurf l'arène on a grandi avec les jeuxGladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peutDans les constructions élevéesIncompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevésFrictions, excitation, patrouilles de civilsTrouille inutile, légendes et mythes débilesHaschich au kilo, poètes armés de styloRéserves de créativité, hangars, silosCa file au bloc 20, pack de Heineken dans les mainsOublier en tirant sur un gros jointPrincesses d'Afrique, fille mère, plastiquePlein de colle, raclo à la masse lunatiqueEconomie parallèle, équipe dure comme un rocPetits Don qui contrôlent grave leurs spotsOn pète la Veuve Cliquot, parqués comme à MexicoHorizons cimentés, pickpockets, toxicosPersonnes honnêtes ignorées, superflics, ZorrosPoliticiens et journalistes en visite au zooMusulmans respectueux, pères de famille humblesBaffles qui blastent la musique de la jungleEntrées dévastées, carcasses de tires éclatéesNuée de gosses qui viennent gratterLumières oranges qui s'allument, cheminées qui fumentParties de foot improvisées sur le bitumeGolf, VR6, pneus qui crissentSilence brisé par les sirènes de policePolos Façonnable, survêtements minablesMères aux traits de caractère admirablesChichon bidon, histoires de prisonStupides divisions, amas de tisonsClichés d'Orient, cuisine au pimentJolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de cimentDésert du midi, soleil écrasantVie la nuit, pendant le mois de RhamadhanPas de distractions, se créer un peu d'actionJeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attractionRires ininterrompus, arrestations impromptuesMaires d'arrondissement corrompusMarcher sur les seringues usagées, rêver de voyagerAutoradios en affaire, lot de chaînes arrachéesBougre sans retour, psychopathe sans pitiéMeilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouverGénies du sport faisant leurs classes sur les terrains vaguesNouvelles blagues, terribles techniques de dragueIndividualités qui craquent parce que stresséesPersonne ne bouge, personne ne sera blesséVapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcoolFourgon de la Brink's maté comme le pactoleC'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cageBave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étageDealer du Soprano vous propose Châteaux de sable, le single issue de son album La Colombe et Le Corbeau. Les paroles ont été ajoutées en octobre paroles de Châteaux de sable ont fait l'objet d'une relecture, cependant, il est possible qu'il y ait encore des erreurs. N'hésitez pas à proposer vos corrections par clip de Châteaux de sable est disponible ci-dessous. C'est sous le préau des collèges la première fois qu'on s'est touché les lèvres Depuis mes yeux te chantent ne me quitte pas de Brel Je me rappelle on se parlait qu'avec des poèmes On passait des nuit blanches à s'endetter chez SFR On refaisait le monde avec le pinceau de notre utopie On se racontait nos vies comme lors d'une thérapie On rêvait d'une grande famille au bord de mer, d'une grande cérémonie après le OUI devant le maire C'était nous contre le monde et ça quoi qu'il arrive Pire quand mon épiderme t'a rendu orpheline On s'était promis de voyager sur le dos d'un éléphant traverser les océans pour s'échouer sur une ile Tu rêvais d'être infirmière et moi d'être avocat On s'est jurés que nos enfants auraient la Baraka On croyait que notre amour nous protégerait de tout Mais la vie de couple ne se résume pas qu'a I love you .. [Refrain] On croyait que l'amour nous suffirait On croyait que l'amour nous sauverait On croyait que l'amour nous protégerait Mais la vie avec le temps nous a volé nos rêves .. Soprano 6 ans plus tard j'ai l'impression que les nuages ne pleurent que sur nos têtes Agent de sécu ça ne suffit pas pour rembourser nos dettes Femme de ménage ça ne suffit pas pour remplir les assiettes De ces bijoux qui n'ont jamais demandé à naître Dis moi A quoi sert mon bac +5? A quoi sert d'être un homme honnête quand tu ne peux pas mettre à l'abri les gens que t'aime Dis moi, je perds la tête aide moi Car les problèmes me font aimer la bouteille Aide moi Les années nous ont changé et la routine a volé nos promesses Dans nos vies familiales , on bat de l'aile et on se crache des noms d'oiseaux à force d'avoir des prises de bec Malgré ça, je connais tes sentiments pour moi Pourtant aujourd'hui on se parle qu'a travers nos avocats On croyait que l'amour nous protégerait de tout Mais la vie de couple ne résume pas qu'a I love you.. [Refrain] Awa Imani Et si on m'avait dis un jour qu'on en arriverait là Je ne l'aurais pas cru Nous qui étions si liés que nous est-il arrivé ? Que nous est-il arrivé ? [Refrain] On croyait que l'amour nous suffirait Soprano On croyait que l'amour nous sauverait Awa Imani On croyait que l'amour nous sauverait Soprano On croyait que l'amour nous suffirait Awa Imani On croyait que l'amour nous protégerait Soprano On croyait que l'amour nous protégerait Awa Imani Cette vie nous a volé nos rêves.. Soprano C'est sous le préau des collèges la première fois qu'on s'est touché les lèvres Depuis mes yeux te chantent ne me quitte pas de Brel Je me rappelle on se parlait qu'avec des poèmes On passait des nuits blanches à s'endetter chez SFR On refaisait le monde avec le pinceau de notre utopie On se racontait nos vies comme lors d'une thérapie On rêvait d'une grande famille au bord de mer, d'une grande cérémonie après le OUI devant le maire C'était nous contre le monde et ça quoi qu'il arrive Pire quand mon épiderme t'a rendu orpheline On s'était promis de voyager sur le dos d'un éléphant traverser les océans pour s'échouer sur une ile Tu rêvais d'être infirmière et moi d'être avocat On s'est jurés que nos enfants auraient la Baraka On croyait que notre amour nous protégerait de tout Mais la vie de couple ne se résume pas qu'a I love you .. Merci CelYne pour les paroles Note Loading... Le clip vidéo de Châteaux de sable Télécharger le MP3, acheter le CD Audio ou la sonnerie de Châteaux de sable Liens pour les lyrics de Châteaux de sable Pour votre site / blog, copiez cette adresse BBCode pour un forum, utilisez ce code Chaussure Marc Jacobs. J'adore la rentrée. J'adore le mois de Septembre. L'odeur des cahiers neufs, des fournitures scolaires neuves, des nouvelles chaussures. J'aime cette ambiance le matin du jour J, où tout le monde est excité de revoir tout le monde à la porte de l'école, pour se faire la bise, sourire aux lèvres. Depuis belle lurette, la rentrée est synonyme pour moi de magazines féminins énormes, aux pages glacées qui présentent des styles farfelus portés par des mannequins filiformes qui sont très loin de mon quotidien, mais je m'en fout j'adhère - j'adore. Je m'installe dans mon fauteuil club en cuir, Coca 0 à la main, je mets FIP et là je feuillette. Ca prend des heures, je regarde tout, je lis même les articles il y a des tonnes d'info dans le Elle! et je fantasme sur les chaussures. Dans ma jeunesse, j'étais styliste ca me semble très loin tout ca, j'ai toujours aimé la mode et les designers, le froissement du tissu, la création pure mais mon rêve s'arrêta le jour où, acceptée à l'école de mode de Montréal pour mes dessins et designs, je me rendis compte à mon grand désespoir que j'étais vraiment nulle en couture. Pour un designer, c'est une dure réalisation, c'est comme ne pas avoir d'oreille et vouloir être chanteur! Donc exit le designer en moi, mais ma tête trouve un exutoire délectable en ces pages glacées, toujours, spécialement en Septembre, le mois des présentations des nouvelles collections. La rentrée signifie aussi pour moi nettoyage et rangement intégral de tout ce qui est inutile dans mon appartement; ca fait vachement de bien de jeter. Ca me purge. Je jette aussi les amitiés qui ne m'intéressent plus. Les personnes qui s'agrippent à moi pour mon énergie, et Dieu sait qu'il y en a. Exit ca aussi. Je jette aussi tous les Tupperwares aux couvercles introuvables, les bas uniques mais où vont les autres? bouffées par le lave-linge? ; je jette les médicaments périmés, les épices périmées, je décongèle mon freezer et lave mon frigo à chaque saison par contre, Septembre est mon Janvier, c'est en Septembre que je m'inscris au gym et à la piscine, en me disant que l'été prochain, je pourrai rentrer dans un 38. Et l'été d'après, je suis toujours comme je suis en me disant que Septembre arrive bientôt, c'est le moment de m'y mettre, quel bonheur ce mois de Septembre. J'adore. J'aime Le mois de Septembre - le blog de la méchante - les framboises - les talons hauts - le champagne - mon chouchou et mon nain de jardin - James Patterson - Bach - Jean Christophe Grangé - Sarah Jessica Parker - le chocolat au lait - le risotto - le soleil - mes amis - my fag hag life - Julien Doré - le Coca O - les films et les livres de Woody Allen - Madonna - le noir - le rouge - l'or - Patrick Senecal - les têtes à claques - Paris - Rome - la mer - le sable chaud - la lecture - les magazines - aller au resto - danser - rire - les bonbons Haribo, surtout les acides - Glenn Gould - Eurodisney - H&M - Dior - Marc Jacobs - Nouvelle Star - Monoprix - ELLE - bouger les meubles de place - le flamenco - Alix Girod de l'Ain - Noël - les Knackiball - la Formule 1 - la photographie - Leni Riefenstahl - l'intelligence - les lys - Nip/Tuck - The Godfather trilogy - John Mayer - Innamorati, 57 rue Charlot 75003 - le gris anthracite - Mika - Harnoncourt - Chanel - Oprah Winfrey - Hillary Clinton - Bruno et ses débarquements inopinés - Telerama - Voici - écrire - Guillaume et ses ragots - Tarantino - Sweet Home Alabama - Venise - l'architecture - Bono - Eze - le Chäteau d'Yquem - les frozen Daiquiris et les frozen Margaritas - les pizzas à l'escargot de la Pizzaiole - les Royal Cheese - la bonne bouffe chinoise - les trips - le ciel - la vie. J'aime pas Le mois de Janvier - le Nouvel An - le Tour de France - les homophobes - les filles qui jugent les grosses - les machos - les salsifis - Secret Story Koh-lanta et l'île de la Tentation - Cyril Lignac - le froid humide - Paris Hilton - Lindsay Lohan - Nicole Richie qu'on les mettent toutes les 3 dans un donjon et qu'on donne la clé à bouffer à un crocodile bordel! - les romans à l'eau de rose - Marc Lévy ben oui... désolée quoi! - David Guetta - Jack Daniel's - le temps entre le soleil et la pluie - les clips de rappeurs avec les fonds de culotte à terre et les filles en bikini qui se tortillent en tous les sens - Planet Hollywood - Star Academy -Louis Vuitton - les "bios" - Bush toute la famille d'hypocrites - les pâtes trop cuites - les haricots verts en boite - Nicolas Sarkozy - Stephen Harper - la médiocrité des sentiments - l'avarice - les cons - les connasses - Paris Match - Public - Gala - les potatoes - les sushis - les régimes - ce qui est statique - la banlieue - le foie de veau - les tripes -la mort. En ce lundi soir pluvieux et moche, mes 3 copines Viridiana, Rym, Natacha et moi avions décidé de se faire le KONG, le restaurant si souvent présent dans les films, notamment "Ne le dis à personne " de Guillaume Canet et bien sûr dans le dernier épisode de "Sex and the City" lorsque Carrie rencontre Carole Bouquet, alias la première femme de Petrovsky les fans sauront de quoi je parle, n'est ce pas Valérie? . Bref, on arrive, 2030, atmosphère du bar feutré, le bar en lui-même étant deux longue plaques de plexiglass avec des fleurs rouges et roses. Rym attaqua d'un Virgin Mojito et moi, du fameux Cosmopolitan, comment pouvais-je ne pas prendre ce fameux apéro, rendu célèbre par ces divines créatures de la série. Nous sommes montées sous la verrière pour manger vers 2115, en ce lundi soir, l'atmosphère était plutôt détendue, j'imagine que le vendredi soir doit être assez différent. Je voulais absolument un canard laqué "authentique" , mais pas de bol, il n'y en avait plus. J'ai opté pour le Château filet poivre et ses petites pommes de terre grenailles, un pur délice, la viande ultra moelleuse, malgré la sauce au poivre, un peu liquide, et les pommes de terre étaient aussi délicieuses. Mes copines ont toutes opté pour le cabillaud vapeur parfumé à la vanille, délicieux, mais en bonne carnivore que je suis, j'étais ravie d'avoir choisi ma pièce de viande. Pierre Hermé étant en vacances, je n'ai pas pu me jeter sur son 2000 feuilles dont je rêvais au grand désespoir de Rym également, donc on a tous choisi le moelleux au chocolat tiède et sa glace vanille. Lorsque le dessert arriva sur la table, d'abord, je dois dire que le moelleux devait mesurer 10 cm de hauteur, c'était une TOUR, nos paroles se sont tues pour laisser place au plaisir décadent du chocolat fondant, parfait, le meilleur moelleux que j'aie mangé jusqu'à maintenant. Vraiment. L'arrivée de notre copine Karène, notre petit oiseau au poignet meurtri, a été l'excuse rêvée pour reprendre des drinks, la soirée s'est terminée à 1 AM, et j'ai repris mon scooter pour retraverser le Pont Neuf, vers mon chez-moi, en me disant qu'après tout, la rive droite, c'est pas si mal... Le KONG, 1 rue du Pont Neuf, 75001, Paris. PS Valérie, si tu viens à Paris, je t'y emmène illico presto!! A Beyrouth, cinq femmes se croisent régulièrement dans un institut de beauté, microcosme coloré où plusieurs générations se rencontrent, se parlent et se confient. Layale est la maîtresse d'un homme marié. Elle espère encore qu'il va quitter sa femme. Nisrine est musulmane et va bientôt se marier. Mais elle n'est plus vierge et s'inquiète de la réaction de son fiancé. Rima est tourmentée par son attirance pour les femmes, en particulier cette cliente qui revient souvent se faire coiffer. Jamale est obsédée par son âge et son physique. Rose a sacrifié sa vie pour s'occuper de sa soeur âgée. Au salon, les hommes, le sexe et la maternité sont au coeur de leurs conversations intimes et libérées. Un magnifique film, qui manque un peu de profondeur et d'une histoire vraiment solide, mais vu la situation du Liban, on ne peut que sourire en voyant ces histoires de femmes libanaises qui pourraient être de n'importe quel pays et qui nous fait réaliser que la gente féminine est universelle, quelque soit la nationalité. Un bon moment passer, entre filles. Cocktail de rigueur par la suite. Cette année a été une série de déceptions et de renaissance constante. Un truc ne marche pas, une autre offre apparaît, ca foire, une autre opportunité naît, puis quelqu'un vient me mettre un coup de sabre en plein dedans, c'est quand même assez hallucinant, mais en même temps, c'est une manière de se renouveler constamment, et de ne pas s'enliser dans une routine si facilement acceptable et si confortable. J'en suis toujours au même point, mes méninges font du brainstorming à 3 am, je passe mes journées entre une clarté déroutante et une certainte inconscience vaporeuse. Est-ce normal de vouloir se renouveler tout le temps? Est-ce que tout ca démontre une quête de soi ou est-ce simplement une impossible façon de se "poser" et d'entrer dans une phase adulte? Les deux? Je me pose beaucoup de questions, je dois compenser pour ceux qui ne s'en posent pas. Dans mon petit appartement doré du 5e arrondissement, entre le Panthéon et l'Institut du Monde Arabe avec un regard sur les Arènes de Lutèce de ma cuisine, j'ose me plaindre de "ne pas savoir quelle direction prendre" quand il y a des millions d'enfants qui travaillent notamment dans la prostitution, que des femmes en ce moment se font casser la gueule par leurs maris violents, que les USA sont toujours présents en Irak et que ces soldats doivent avoir qu'une envie retourner avec leur famille, que l'aide au Darfour vient à la vitesse d'une tortue ménopausée sous lexomil, et quoi d'autre? Comment puis-je oser OSER me plaindre? Je vais donc écrire sur autre chose que la cuisine sur mon blog à partir de maintenant; je vais quand même parler de bouffe, et écrire certaines recettes, mais je crois que même si je suis la seule à me lire ce n'est pas le cas en voyant mes statistiques mais bon, je veux élargir mon point de vue, élargir mes opinions et vous décrire une vie, ma vie, la vie d'une soprano à Paris, qui a le visage tourné sur le monde entier, avec toutes les richesses qui font de moi la personne que je suis devenue, la petite fille complexée qui allait à l'école privée avec toutes les petites filles riches qui avaient deux parents alors que le mien pourrissait au camp Boiron de Conakry sous l'empire de Sékou Touré, la petite fille qui a su se démarquer avec beaucoup de mal grâce à son courage et sa volonté de s'élever au-dessus des conformités quotidiennes, moi, qui ai vu sa mère expirer dans ses bras pour ensuite retrouver son père qu'elle n'avait jamais vu, retrouvé grâce au tamtam africain de l'amie Marielle, que je n'ai pas traitée avec tout le respect que je lui dois après tout ce qu'elle a fait pour moi. La vie est courte, et je crois que bien souvent, on ferme les yeux et on retient notre souffle en attendant que ça passe, mais non, il faut ouvrir les yeux, attraper le taureau par les cornes et le regarder droit dans les yeux. Et sourire. Dans le 5e arrondissement de Paris, existe une petite rue pratiquement invisible, très peu fréquentée, le rue Tournefort. Située parallèle à la fameuse rue Mouffetard, la rue Tournefort abrite un resto très sympa, "Chez mimille et lena" où j'avais l'habitude d'aller assez régulièrement depuis mon arrivée à Paris. J'y suis retournée après presque 10 mois d'absence, pour y retrouver les mêmes patrons, mais le menu quelque peu changé; j'ai été encore décue et ca me rend triste de savoir que je ne pourrai plus aller sur cette magnifique terrasse!! Avant, on nous offrait le kir à l'arrivée, chose bien agréable et accueillante! Et bien aujourd'hui, plus de kir. Le menu à 35 EUR incluait la demi bouteille de vin, les entrées fabuleuses, les assiettes bien remplies, les desserts très bons. L'entrée était toujours très bien, je me suis régalée avec la terrine de légumes, ma pièce de boeuf était très basique, la purée à l'huile d'olive aussi, puis les desserts maison ne me tentaient pas, je me suis donc offert, à la carte, 15 EUR de bonheur et me suis régalée avec mon Ispahan de Pierre Hermé. Je suis donc revenue déçue, d'un restaurant toujours aussi joli et assez accueillant, mais lorsqu'on sait faire la différence entre le resto aujourd'hui et celui d'avant, on regrette quand même la qualité et le petit plus qui rendait Mimille et Lena mon restaurant préféré de Paris. Coucou, De retour, j'ai décidé de rendre mon blog un peu moins culinaire et d'y mettre toutes mes envies, mes coups de coeur et mes coups de gueule. J'ai justement eu un gros gros coup de coeur cette semaine, le nouveau Tarantino. Ma copine Karène m'avait urgé d'aller voir ce dernier Tarantino Boulevard de la Mort Death proof, la première partie d'un dyptique signé Tarantino et Robert Rodriguez, tandem qui nous apporta le fameux "From Dusk 'til Dawn", un film complètement déjanté sur des vampires dans un bar au milieu de nulle part. Death proof est donc une première partie réalisé par Tarantino, dont la 2e partie "Grindhouse" est réalisée par Rodriguez. Ode aux films de série B des années 70 on se souvient également de "Jackie Brown" imaginez donc, des filles, magnifiques, dont Vanessa Ferlito, une nana qui avait déjà joué dans 24, saison 3, magnifiquement sensuelle, et Sydney Poitier, la fille de, qui porte le même nom que son père, qui est donc Jungle Julia, 1 mètre 80 de beauté sauvage. Elles sont belles, indépendentes, volubiles, ce qui les mettra justement dans la merde, puisqu'elles vont tomber sur Kurt Russell, "Stuntman Mike", un misogyne psychopate qui les tuera d'une façon violentissime, on a le coeur qui bat car on voit à 100 milles à l'heure ce qui s'en vient, la musique est trop top avant cette scène, c'est génial, mais attention aux coeurs sensibles. Puis "18 mois plus tard", la 2e partie du film, moins longue que la première avec encore des protagonistes superbes, le même genre de fille, mais l'histoire se finira autrement, la fin sera, malgré encore une violence, magistrale, au point où vous aurez envie de crier "YEAH!" et de se sentir très très forte et invincible, une femme forte. Je me disais qu'au moment voulu, quand ma fille sera assez grande, je lui ferais voir ce film, pour qu'elle voit que les femmes sont fortes, et que dans la vie, il faut pas se laisser emmerder par des machos finis! La est également incontournable, je me suis ruée sur ITunes la télécharger, et elle tourne sans cesse dans mon casque depuis. Et oui, je suis invincible. Je suis en train d'émigrer sur MY SPACE, je vous ferai savoir bientôt tous les détails ; je suis en train d'y créer une page web à mon image avec photos et MP3 et plus de détails sur ma vie professionelle. Je garderai ce blog pour mon passe-temps culinaire et mes coups de gueule sur Sarkozy, ne vous en faites pas... En passant, je fais un récital à l'église St Médard, à Paris, dimanche le 3 juin à 17h, si vous êtes dans les parages et vous avez envie d'entendre Haendel, venez nombreux! Lorsque j'habitais au Canada, j'étais souvent branchée sur "The Food network". Ici, il y a cuisine TV, mais je ne l'ai pas, étant sur Free, donc je me rabats sur mes longues promenades à la FNAC ou au VIRGIN, à feuilleter les nouveaux bouquins de cuisine, avec des photos plus alléchantes les une que les autres. Un livre a capté mon attention l'autre jour, "A l'italienne tous les jours" de la magnifique Giada de Laurentiis, une italo-américaine aux dents très blanches et très droites très Colgate smile qui animait justement une émission dont le livre a été tiré "Everyday Italian". Les recettes sont simples, faciles à préparer et celles que j'ai essayé ont marché à tous les coups ce qui n'est pas le cas de certains livres. Le seul problème que j'ai est la traduction qui est québécoise oui, je sais!! , c'est très bizarre, étant québécoise moi-même, mais je trouve que c'est bizarrement traduit de l'anglais, et les ingrédients sont comptés en "boîte de XXX g", que l'on ne trouve pas nécessairement ici en France. Il y a aussi le sel kasher, traduit de "Kosher salt" qui est l'équivalent de notre Sel de Guérande, et la vraie Bolognaise ne se fait pas avec des carottes, mais à part ces petits détails, il y a des recettes vraiment très bonnes, comme son pesto à l'arugula, sa sauce amatriciana, et la polenta frite. Je n'ai pas encore essayé ses desserts. Bref, je vous le recommande, car les recettes sont toutes faciles comme toute cuisine italienne et j'aime bien ce qui est simple, le soir, avec un petit verre de rouge. Un bon livre à avoir et il ne coûte pas très cher 18E! Ta douce mélodie me réveille chaque matin Avant même d′embrasser ma femme, je te prends par la main Puis, je te caresse le visage pour voir si tout va bien Tellement inséparable qu'on part ensemble au petit coin Mon café, mon jus d′orange, on le partage aux amis En voiture, mes yeux sont dans les tiens, donc quelques feux je grille Au boulot, on parle tellement ensemble que des dossiers j'oublie Au dîner, vu le silence, tout le monde t'aime dans ma famille, baby Je te partage ma vie, au lieu de la vivre Tu me partages la vie des autres pour me divertir Je ne regarde plus le ciel depuis que tu m′as pris Mes yeux dans tes applis, baby Je ne sais plus vivre sans toi à mes côtés Ton regard pixelisé m′a envoûté Toi, mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Quand tu sonnes ou quand tu commences à vibrer Je perds la tête, comment pourrais-je te quitter? Toi, mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Vous avez un nouveau message Tu es ma secrétaire, tu gères mon organisation Tu allèges mes neurones grâce à tes notifications Plus besoin d'aller voir la famille, vu que tu me les follow Pour leur prouver que j′les aime, je n'ai qu′à liker leur photos Pourquoi aller en concert? Tu m'as tout mis sur YouTube Tu m′aides à consommer, car tu ne me parles qu'avec des pubs J'fais plus gaffes à l′orthographe depuis que j′te parle avec mes doigts Mes gosses font plus de toboggan, ils préfèrent jouer avec toi, baby Je te partage ma vie, au lieu de la vivre Tu me partages la vie des autres pour me divertir Je ne regarde plus le ciel depuis que tu m'as pris Mes yeux dans tes applis, baby Je ne sais plus vivre sans toi à mes côtés Ton regard pixelisé m′a envoûté Toi, mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Quand tu sonnes ou quand tu commences à vibrer Je perds la tête, comment pourrais-je te quitter? Toi, mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Mais, là, je deviens fou j'deviens fou, j′deviens fou L'impression que mon pouls ralenti ralenti, ralenti J′ai plus de repères, je suis perdu perdu, j'suis perdu Depuis que tu n'as plus de batterie de batterie, de batterie Mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux Vous avez 39 nouvelles demandes d′amis Vous avez 120 nouveaux likes Vous n′avez pas vu vos amis depuis deux mois Votre vie est digitale LOLWriters . Soprano, Abdel Djalil Haddad Lyrics powered by Avant de remplir des stades et d’enchaîner les tubes, Soprano a traversé plusieurs périodes extrêmement compliquées. Sur Europe 1, le rappeur de 40 ans a expliqué qu’à une époque, il voulait [s]’ôter la vie », avant d’être sauvé par sa sœur, dont les paroles ont su provoquer un véritable déclic chez lui. Fin novembre, à l’occasion de la sortie de son album Phoenix, Soprano confiait à Oh My Mag qu’il n’aurait jamais imaginé faire ce parcours il y a vingt ans ». Aujourd’hui, le rappeur marseillais de 40 ans compte déjà six albums solo dans sa discographie, ainsi que quatre avec son groupe Psy 4 de la rime. S’il revendique un état d’esprit bourré d’optimisme et porte un regard confiant sur l’avenir, le coach de The Voice a mis des années à surmonter ses douleurs, et notamment le fait de ne pas pouvoir contacter son fils. Le lundi 4 février, Soprano était de passage dans l’émission Anne Roumanoff ça fait du bien, diffusée sur Europe 1. Face à l’humoriste, l’interprète de Zoum s’est confié sur l’une des périodes les plus compliquées de sa vie. Je voulais m’ôter la vie. » À 22 ans, le rappeur a tenté de mettre fin à ses jours, comme il l’a expliqué sur Europe 1 Je me rappelle qu’il y a dix, même quinze ans, je voulais m’enlever la vie, je voulais m’ôter la vie. J’étais dépressif ». Soprano a poursuivi en assurant que son quotidien a radicalement changé par la suite. Je me regarde, je me vois, j’ai une famille, je remplis des stades » a-t-il déclaré. Si l’interprète d’À la bien a pu se relever et retrouver la joie de vivre qui le caractérise, c’est en grande partie grâce au soutien sans faille de sa famille. Mes parents, surtout ma sœur, avaient écouté une chanson à moi qui s’appelait Comme une bouteille à la mer où je disais que je n’étais pas bien. Les gens du rap disaient quelle plume extraordinaire’ et ma sœur m’a dit Je ne veux plus écouter cette chanson’. Elle est sortie de la chambre en larmes. Je suis partie la voir. Elle m’a dit Ça veut dire que nous, on est là et on ne sert à rien ?’ Et ça a été mon premier déclic. On n’est pas conscient du mal qu’on fait autour de nous en disant que l’on n’est pas bien » a en effet assuré le rappeur à Anne Roumanoff. Des propos à retrouver en détail dans la vidéo ci-dessus et qui représentent à merveille le titre de son dernier opus car, selon l’artiste, le phœnix c’était un beau message pour dire que dans la vie, on a une énième chance ». Tant qu’on est encore vivant, on peut réaliser quelque chose de magnifique » a-t-il assuré au cours de ce nouveau témoignage empli d’espoir et particulièrement touchant. Lire le suivant Salaire d’Emmanuel Macron combien gagne le président de la République ? Risque de listeria Leclerc, Carrefour, Cora et Auchan rappellent du poulet Cet homme aveugle voit sa femme pour la toute première fois Une femme allemande donne naissance à des quadruplés à 65 ans ! Elisabeth Borne “en couple avec une femme” ? La Première ministre répond cash à la rumeur Une SDF accouche à l’extérieur d’un hôpital qui a refusé de la prendre en charge Une femme organise une séance photos pour fêter son divorce où elle met sa propre robe de mariage en feu Isabelle Balkany atteinte d’un cancer du poumon sa mauvaise habitude malgré la maladie Ce pompier sauve un bébé de 9 mois, 17 ans plus tard il reçoit une surprise inattendue Les premières jumelles nées avec une couleur de peau différente ont aujourd’hui 21 ans

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